Gaza : La fameuse « Solution »  maintenant exigée sur tous les tons…

par Jean-Loup Msika

Une attaque génocidaire :

Lors de l’attaque surprise, attaque génocidaire du 7 octobre 2023, les terroristes du Hamas et une foule importante de gazaouis ont commis un massacre de civils et des atrocités d’une cruauté inimaginable.

Les dirigeants du Hamas ont promis, du Qatar, une répétition de telles attaques barbares, encore et encore…

Le Hamas appartient au mouvement international des Frères Musulmans, qui prônent la soumission universelle à l’Islam, par le Djihad, de tous les non musulmans, de gré ou de force, par étapes, mais sans répit. C’est le Dar al Islam en lutte permanente contre le Dar el Harb (maison de la guerre, soit le reste du monde…).

Un conflit civilisationnel :

Il s’agit tout simplement d’effacer la civilisation judéo-chrétienne de Justice et de Liberté (Le Libre Arbitre et la Dignité de chaque être humain créé « à l’image de Dieu ») par la soumission d’une humanité en troupeau docile aux diktats totalitaires des représentants autoproclamés d’Allah sur terre, qui s’enrichissent à milliards, à Doha, avec les subventions européennes.

A cette fin, les Frères Musulmans utilisent aussi bien la Takiya (le mensonge licite, pour endormir et tromper les adversaires, pour la gloire ultime d’Allah) que la violence la plus barbare, comme on l’a vu en Israël le 7 octobre 2023, mais aussi en France à Nice, au Bataclan, à Toulouse, etc…

La destruction de l’indépendance et de la souveraineté juive en Israël est une première étape, figurant dans la charte du Hamas, étape nécessaire au Djihad, car les Juifs défendent avec fermeté leur indépendance et leur souveraineté et constituent une sorte de verrou à l’expansionnisme planétaire infini de l’Islam.

Une guerre de défense, imposée à Israël :

L’état d’Israël a donc rappelé ses réservistes et entrepris une indispensable campagne d’éradication de cette menace existentielle majeure contre lui et ses citoyens, tout en prenant des précautions pour éviter autant que possible de faire des victimes civiles.

Cette campagne militaire israélienne se déroule depuis plus de 2 mois, avec des combats acharnés, et des pertes des deux côtés, les pertes étant heureusement bien plus importantes pour les terroristes  que pour Israël qui se défend.

Les commentateurs du monde entier, les gouvernements, les Nations Unies, etc… se préoccupent aussitôt du sort des gazaouis et accusent injustement Israël de « massacrer les populations civiles ».

Les mensonges du Hamas :

Le Hamas, qui avait accusé Israël d’avoir bombardé un hôpital en faisant 500 victimes, mentait comme toujours: il s’agissait d’un projectile du Djihad Islamique qui fit 10 morts.

Les médias de propagande mensongère se sont empressés de reprendre cette fausse information.

De même, les chiffres de 20 000 victimes « civiles » proclamés par la Hamas correspondent en fait à 8 000 combattants et combattantes du Hamas, dont certains très jeunes (15 ou 16 ans) comptabilisés abusivement comme « enfants », pour dresser le monde crédule contre Israël.

Car Israël, guidé par ses valeurs éthiques de respect de la Vie, fondées sur les 10 paroles du Mont Sinaï, prend tous les soins possibles pour éviter les victimes civiles, dans cette guerre qui lui a été imposée, plus de soins qu’aucune autre armée dans l’histoire mondiale des guerres.

Le Hamas s’abstient de révéler, comme Israël, le chiffre exact de ses pertes de combattants, tous automatiquement amalgamés aux « civils », dans cette guerre imposée à Israël.

Il s’ensuit d’énormes manifestations dans le monde entier et le déchaînement d’une violente haine anti juive  inacceptable, causées par l’écho que donnent stupidement les médias occidentaux à la propagande mensongère du Hamas.

Les commentateurs du monde entier, les gouvernements, les Nations Unies, etc… exigent donc un cessez- le-feu et une « solution politique ».

Quelle peut être la « solution politique » à ce conflit entre :

1/  l’état démocratique d’Israël qui intègre des minorités non juives (Chrétiennes, musulmanes, druzes, etc…) en parfaite sécurité, avec stricte égalité de droits, devant une justice indépendante qui est unique au Moyen Orient, d’une part, et d’autre part,

2/  les mouvements terroristes islamiques qui persécutent et chassent les chrétiens, et se livrent à des attaques continuelles contre les juifs : attaques du Hamas, depuis plus de 17 ans, depuis sa prise de pouvoir violente contre le Fatah,  mais aussi attaques meurtrières financées par « l’Autorité Palestinienne », issue des accords d’Oslo, et qui verse des récompenses généreuses et à vie, aux assassins de Juifs et à leurs familles ?

Légitimité comparée du Sionisme et du Palestinisme :

Le mouvement national sioniste est celui d’un peuple autochtone, sur le lieu précis et millénaire de son ancien royaume de David et  Salomon.

Par contre, jusqu’en 1967, et jusqu’à la défaite de la coalition arabe, il n’avait jamais été question d’un État national palestinien puisque la Jordanie occupait la Judée Samarie et Jérusalem, et l’Égypte la bande de Gaza, sans que quelques aspirations nationales palestiniennes que ce soit ne soient formulées ni à plus forte raison mises en application.

L’idée même d’un “État palestinien” n’est-elle pas une simple invention du KGB, en 1967, pour transférer le conflit, d’une dimension militaire sans espoir pour les Arabes, vers le terrorisme et la  pseudo- diplomatie ?

Un concept artificiel et dénué donc de toute véritable légitimité !

De plus, peut il y avoir la moindre légitimité dans une aspiration nationale qui ne se fonde, de manière définitive et irrévocable, que sur la disparition de son voisin, soit de manière déclarée (Hamas, Islamic Jihad…), soit de manière sournoise, en subventionnant systématiquement les meurtres de juifs (Autorité Palestinienne) ?

Le sionisme est par contre un nationalisme légitime car il a toujours accepté l’idée d’un partage pacifique avec ses voisins, partage qui s’avère maintenant, et définitivement, impossible avec des ennemis mortels d’une inhumanité absolue, ennemis qu’il faut désormais tout simplement tenir à la plus grande distance possible, et hors d’état de nuire !

Il faut aussi enfin noter que l’État “palestinien”, le fameux “deuxième État”, existe déjà, sur 77 % du mandat de Palestine destiné à un Foyer juif par les accords de San Remo de 1920 : c’est la Jordanie avec son émir parachuté de la péninsule arabique qu’il faudra contraindre (le monde entier s’y mettra) à accepter de recevoir 1 000 000 d’ Arabes palestiniens pour peupler son État désertique qui pourrait verdir comme le désert du Negev.

Si la création d’un nouvel Etat palestinien, en plus de la Jordanie, pouvait être obtenue après ce pogrom massif et cruel, ce serait une légitimation atroce et intolérable de toute l’entreprise terroriste du Hamas.

Le Palestinisme obsessionnel :

Extrait de Wikipedia :

« L’homme politique palestinien Awni Abd al-Hadi déclara en 1937: « Il n’y a pas de pays tel que la « Palestine ».

« Palestine » est un terme que les Sionistes ont inventé ».

Philip Khuri Hitti, historien arabe, ainsi que de nombreuses personnalités arabe telles que le roi Hussein de Jordanie, Hafez el-Assad, le représentant de l’Arabie Saoudite aux Nations Unies et le représentant du Haut-Comité arabe aux Nations Unies déclarèrent quant à eux en 1947 que la « Palestine » est une province syrienne.

Certains historiens considèrent l’identité palestinienne comme une invention, encouragée par les Etats arabes en conflit avec Israël.

Le journaliste Raphaël Delpard soutient que la notion de « peuple palestinien » a été inventée par le KGB au lendemain de la guerre des Six Jours (1967) afin que le régime soviétique conserve une influence au Moyen Orient. »

Dominique de Villepin, par exemple, ou les socialistes Olivier Faure ou Josep Borell, exigent à cor et à cri, la création urgente d’un « état de Palestine, démocratique et pacifique » indispensable selon eux, tout en sachant pertinemment qu’il s’agirait d’un état terroriste judenrein (d’ou les juifs seraient bannis) privant l’état juif, déjà exigu, de toute profondeur stratégique lui permettant de survivre à la menace terroriste.

Car le palestinisme n’est finalement qu’un outil voué à assurer à terme la disparition de l’indépendance juive.

Le palestinisme, avec son narratif victimaire intarissable et un soutien acharné à un prétendu peuple « palestinien », « victime d’Israël » devint très vite une sorte de religion.

Il permettait de diaboliser Israël, « bourreau des Palestiniens » et d’en faire un bouc émissaire pour tous les malheurs du monde.

Ce bouc émissaire, coupable de tous les maux, était très utile aux pays arabes, aux systèmes politiques et sociaux corrompus et violents, pour détourner la colère des masses frustrées vers l’ « ennemi sioniste », responsable universel, même des crues et inondations de la Medjerda en Tunisie !.

De même, l’Europe chrétienne, honteuse de sa participation, à différents niveaux, aux persécutions des juifs au fil des siècles et au génocide de la Shoah, se trouvait soulagée de pouvoir affirmer mensongèrement qu’Israël pratiquait un prétendu « génocide » des palestiniens, de nazifier ainsi les juifs, pour soulager la mauvaise conscience européenne. 

Par un tour de passe-passe mensonger, Israël et les Juifs devenaient finalement les vrais coupables au bout de l’histoire.

La « gauche » prétendument progressiste est, elle aussi, passionnément palestiniste !

Un Israël pérenne, prospère et créatif, tout en restant solidement enraciné dans son identité, son histoire, sa culture et sa spiritualité millénaires, cela constitue un « très mauvais exemple » et un obstacle infranchissable aussi pour le mondialisme dystopique, transhumaniste, wokiste et élitaire qui prétend conquérir et uniformiser la planète sur la table rase !

Le palestinisme arrangeait donc tout le monde, et tout le monde y contribua, avec d’innombrables résolutions onuesques de soutien à la « cause » palestinienne, des subventions massives et soutenues, des condamnations incessantes et mensongères d’Israël, prétendument coupable de « racisme », de « génocide », « d’apartheid », « de purification ethnique », etc., alors qu’en fait, ce sont les pays arabes qui sont vraiment coupables de « racisme », de « génocide », « d’apartheid », « de purification ethnique », contre les Juifs et aussi contre les chrétiens !

Des populations instrumentalisées, pour la haine et le conflit:

Le nécessité absolue et urgente d’un « état palestinien », état terroriste et judenrein, devint une obsession mondiale, alors même que les populations arabes de Judée Samarie et de Gaza étaient assistées et grassement subventionnées, de manière à provoquer une explosion démographique, avec enseignement de la haine anti-juive dès l’enfance, dans les familles nombreuses, et activité quasi exclusivement concentrée sur l’entraînement et la préparation au terrorisme, au djihad, au meurtre des juifs, au martyre, pour l’accès au Paradis et pour la plus grande gloire d’Allah.

Dès après le massacre barbare du 7 octobre, et comme en récompense pour la commission de ces atrocités, l’Union Européenne vient de tripler sa subvention aux « palestiniens », subvention qui concerne, entre autres choses, la production de manuels scolaires enseignant la haine des juifs et d’Israël aux enfants des écoles de l’UNWRA.

Déjà en 2004, le parti socialiste refusa, à la demande de Chris Patten, commissaire européen anglais, son investiture pour les européennes au député européen François Zimeray, pour avoir demandé un contrôle par l’Office de lutte anti-fraude des aides européennes à la Palestine, pour des manuels scolaires enseignant la haine et le meurtre des juifs.

La guerre actuelle, initiée par l’attaque monstrueuse de sauvagerie et de cruauté du 7 octobre 2023, était à prévoir comme une conséquence inéluctable de cette concentration explosive de populations désoeuvrées, subventionnées, endoctrinées dans une farouche hostilité antijuive, maintenues et financées, cas unique dans l’histoire, dans une situation de réfugiés éternels, génération après génération, et travaillées par des idéologues islamo-suprématistes, haineux et fanatiques, aux portes mêmes d’Israël.

Car le refus des pays arabes voisins d’intégrer les « Palestiniens » a été délibéré, comme moyen offensif de fixer une population déstabilisatrice aux portes de l’État juif.

La solution, pour la Paix, enfin ! :

Tous les commentateurs s’empressent de poser la question de la suite : et après la guerre ? Qu’adviendra t il de Gaza ?

A quand l’indispensable « Solution à Deux Etats »?

Le Premier Ministre Netanyahu a expliqué, avec raison, que dans tous les cas, la bande de Gaza ne devrait plus être contrôlée par ni par le Hamas terroriste génocidaire, ni par l’Autorité Palestinienne tout aussi terroriste car elle subventionne systématiquement les assassinats de civils juifs.

L’OLP, comme le Hamas, ont engagé, avec la complicité sournoise des antisémites du monde, et par des moyens criminels terroristes d’une cruauté inimaginable, une tentative de mise en oeuvre de l’étape ultime de la Solution Finale hitlérienne, pour la destruction et l’effacement de l’indépendance et de la souveraineté juives.

Cette entreprise belliqueuse et totalitaire s’insère parfaitement, comme une première étape, dans la perspective du Djihad mondial, pour l’extension du Dar al Islam à la totalité de la planète, le reste du monde étant ensuite une sorte de « ventre mou » facile à soumettre.

Seul Israël donne le signal clair d’une résistance à cette menace radicale contre la Liberté et la Dignité humaines.

Il faut donc impérativement, pour assurer la sécurité des citoyens israéliens, éloigner et mettre hors d’état de nuire une bonne fois pour toutes les mouvements et les idéologies « islamo-palestinistes » essentiellement judéophobes et criminelles, du fait même de leur doctrine fondatrice.

La surpopulation de Gaza et de la Judée Samarie, par des subventions internationales généreuses, poussant à l’explosion démographique a créé une situation de tension délibérée, recherchée avec une perversité obstinée par tant d’antisémites incurables du monde entier, et à laquelle il faut mettre un terme définitif.

Les Juifs avaient toujours proposé naïvement le partage, le voisinage pacifique qui sont désormais irrévocablement impossibles après le 7 octobre 2023.

En se retirant totalement de la bande de Gaza en 2005, Israël avait naïvement voulu laisser les musulmans s’organiser librement, en principe en bons voisins pacifiques, mais cela a abouti dans les faits à la constitution d’une forteresse terroriste et pogromiste d’une hostilité totale, ou la haine des juifs est pratiquement le seul enseignement prodigué, avec des fonds européens, à l’abondante jeunesse.

Puisque ces populations musulmanes ne peuvent vivre en paix avec les juifs, elles doivent être éloignées dans le vaste monde palestinolâtre.

Il y a eu dans l’histoire beaucoup de mouvements massifs de population, par millions, pour mettre fin à des conflits, que ce soit avec l’exode des allemands des Sudètes expulsés de Tchécoslovaquie, des chrétiens grecs et arméniens chassés de Turquie,  l’exil d’Algérie d’un million de chrétiens et de juifs, le million de juifs expulsés à 99% de tous les pays arabes, et aussi les exils massifs en Inde et au Pakistan, etc… , et la nous avons, aujourd’hui  l’occasion d’en mettre un en œuvre, sans contrainte ni violence, mais avec des subventions internationales, pour une véritable Solution de Paix.

Il existe 22 pays arabes, 57 pays islamiques dans le monde, qui devraient accueillir ces populations et leur proposer une autre activité que le meurtre obsessionnel des Juifs, une activité plus saine et moins dangereuse, toutes choses à développer dans le vaste monde arabo-musulman notoirement sous développé !

Les subventions internationales doivent maintenant être consacrées à l’émigration de deux millions de ces ennemis mortels des juifs et leur installation vers d’autres horizons, plus positifs, pour leur propre bien et pour la Paix dans le monde.